
Tout le monde aimerait savoir ce qui nous attend ; c’est pourtant simple, il suffit d’assister à une messe de Requiem célébrée selon le rite traditionnel. Car tout y est. Les textes nous y décrivent ce jour fatal qui s’annonce à grands pas.
Requiem. C’est le titre de la chanson de l’artiste qui représentera la France à l’Eurovision 2017, , qui aura lieu le 13 mai, une certaine ALMA. Étonnamment, plus l’élite mondialiste progresse, plus ses messages sont clairs.
Le 13 mai 2017 est le centième anniversaire des apparitions de Fatima ; un centenaire emblématique attendu par tous, même le pape fera le déplacement.
Le mot latin Alma est utilisé dans la liturgie de l’Eglise catholique pour désigner la mère de Dieu, la Vierge Marie. Dans le chant Alma Redemptoris Mater, il se traduit par « sainte » et est associé à Mater, la mère : la Sainte Mère du Rédempteur.
Enfin Requiem, qui veut dire repos, est le mot qui désigne un enterrement, une sépulture, en référence au repos éternel. Une messe de Requiem est une messe d’enterrement.
Par conséquent, choisir Alma avec le titre Requiem le jour du centenaire des apparitions de Fatima veut dire, de la part de la synagogue de Satan, qu’ils célèbreront ce jour-là le deuil de l’Eglise catholique. La chute de Babylone est actée, la civilisation chrétienne est annoncée comme définitivement enterrée. De même qu’on chante le Dies Irae à une messe de Requiem, ici l’élite mondialiste fera chanter par sa fausse vierge hébraïque (pour paraphraser la Salette) le Requiem de Babylone. Car il s’agit d’un concours de chant. Parions qu’avec une telle symbolique cette artiste sera primée.
Tout ceci est assez simple à comprendre, il suffit de connaître la symbolique biblique.
La ville comme la Femme symbolisent la même chose, l’Eglise : « la femme que tu as vue, c’est la grande ville qui exerce la royauté sur les rois de la terre » (Apoc. 17, 18).
Jérusalem, puis Rome, c’est l’Eglise dans sa composante matérielle, en tant qu’organisation humaine.
La Femme, c’est l’Eglise dans sa composante spirituelle.
Quand l’Eglise est forte, solide, arrimée à son divin Maître, la ville est appelée Jérusalem dans l’ancienne alliance, puis Rome dans la nouvelle alliance à partir du Christ.
Mais quand l’Eglise faillit à son rôle et communie avec les peuples païens dans une même idolâtrie, elle se mue en Babylone. C’est toujours la grande ville, mais elle ne porte plus le même nom : c’est une Eglise déchue, dont les membres sains se retrouvent comme en captivité.
Pareil pour la Femme : quand l’Eglise est pure et fidèle à sa mission spirituelle, elle est figurée par la Sainte Vierge, la Femme couronnée d’étoiles de l’Apocalypse. Mais quand elle trahit son divin époux, quand elle s’associe aux divinités païennes et leur reconnaît un statut, quand elle est infidèle à sa foi, quand elle s’accorde avec le monde alors que son Maître lui a pourtant bien précisée qu’elle n’était pas de ce monde, elle se mue en Grande Prostituée.
Le monde profane et le monde religieux vont de pair. La fondation par le Christ du royaume de Dieu sur terre, l’Eglise, s’est accompagnée d’un changement progressif mais radical des mœurs et des rapports humains, dans ce qui convient d’appeler la civilisation chrétienne.
Quand l’Eglise va, les sociétés et nations chrétiennes progressent en vertus et en forces.
Quand l’Eglise faillit à sa mission les nations se détériorent ou sont envahies par l’ennemi.
Il est indéniable que le changement de cap dans l’Eglise initié au concile Vatican II s’est accompagné du côté des sociétés civiles d’une transformation complète des valeurs, des mœurs, des modes de vie et même des modes de pensée, qui ne sont pas dus qu’au progrès technique.
Soyons clairs : le monde entier, après avoir été soumis à la loi chrétienne, jusqu’à en adopter le calendrier universellement, est aujourd’hui redevenu entièrement païen. Les nations chrétiennes sont toutes des Grandes Babylone.
La synagogue de Satan le sait bien puisqu’elle en a été le principal artisan.
Quand à l’Eglise, même les observateurs extérieurs non chrétiens constatent que le pape actuel est un destructeur des dernières valeurs catholiques qui subsistaient après l’extraordinaire virage en faveur du monde effectué depuis cinquante ans. Un homme chargé non pas de faire perdurer l’Eglise dans son rôle traditionnel mais de conduire une permutation.
Permutation en une religion humaniste universelle largement décrite dans les programmes de la franc-maçonnerie depuis un siècle. Dorénavant accomplie.
Par conséquent il est logique que l’Alma satanique soit chargée de célébrer le Requiem de Babylone le jour anniversaire du centenaire de son avertissement.
En clair cela veut dire : les sociétés et civilisations chrétiennes sont mortes, la prophétie de l’Apocalypse est accomplie, la chute de Babylone est actée.
Il en va de même pour la Grande Prostituée ; le texte de l’Apocalypse précise bien que les rois de la terre haïront la Prostituée et la dépèceront (Apoc. 17, 16). Pourquoi croyez-vous que les élites mondiales de la synagogue de Satan lui ont fait faire le concile, acter le relativisme religieux, désacraliser la messe, renoncer à convertir les païens, et embrasser les thèses socialo-mondialistes de l’ultra-gauche ? C’est bien pour la détruire de fond en comble !
En définitive toute l’Apocalypse est réalisée, les trompettes de la victoires de Satan sont prêtes à sonner. Lui-même le dit : dans trois mois on célèbrera le Requiem de l’Eglise, la victoire de Satan sera acquise.
Nous en sommes à l’instant crucial du moment de vérité, à l’accomplissement des promesses, à la réalisation de la prophétie de la Salette : c’est quand l’adversaire se croira vainqueur et se proclamera le Sauveur (c’est à dire le Messie) qu’il sera étouffé par le souffle de saint Michel Archange.
Et l’Antéchrist ?
On dirait que seules les élites mondialistes et quelques eschatologues avisés connaissent la situation. La quasi totalité des populations ne s’aperçoit de rien, y compris de nombreux lecteurs avertis, comme ceux du Grand Réveil. Nombreux sont-ils à attendre encore un hypothétique Antéchrist alors qu’ils l’ont sous les yeux.
Là aussi c’est pourtant simple.
Christ veut dire Messie et ante veut dire avant : avant le Messie.
Tous ceux qui ont étudié les prophéties de l’Ancien Testament savent que le Messie est Dieu. Les rabbins contemporains l’enseignent. La synagogue de Satan le sait.
Donc quand les juifs annoncent l’arrivée imminente du Messie, ils savent très bien qu’il s’agit de Dieu, de leur dieu, Lucifer en réalité. Mais sûrement pas de l’Antéchrist, qui est nécessairement AVANT le Messie.
Même raisonnement du côté des chrétiens : l’Antéchrist est la période d’iniquité totale, caractérisée par l’homme de péché, c’est à dire une société baignant dans le péché, et dirigée par un ou des hommes symbolisant (ou encourageant) ce type d’homme ou ce type de comportement. Les exégètes qui ont étudié sérieusement les prophéties ont démontré que l’Antéchrist en tant que personnage ne pouvait être que le guide spirituel suprême : le pape.
Et nous avons vu que la société civile suivait toujours le même chemin que la société religieuse : quand celle-ci se dégrade c’est la totalité du monde qui en pâtit.
Une fois de plus, les deux camps se rejoignent : que l’on soit du point de vue de Satan et de ses fidèles, ou de Dieu et des Justes, la période qui s’ouvre à nous est soit le règne de Lucifer, soit la Parousie du Christ.
C’est à dire la période qui suit l’Antéchrist.
Or le camp ennemi annonce sa victoire au printemps, ce que corroborent nos observations à partir d’autres éléments et maintes fois démontrées sur ce blog.
Jésus explique exactement la même chose en Matthieu 24 : il faut que l’iniquité atteigne son plus haut niveau et si ces jours n’étaient abrégés, nul n’échapperai , mais, à cause des élus, ces jours seront abrégés.
Les élus sont en danger de quoi ? Pour Jésus, le danger est de perdre son âme, de perdre la promesse de la vie éternelle, de basculer dans la mort éternelle.
Les observateurs de la société actuelle devraient se rappeler les paroles de Jésus :
« Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l’âme et le corps dans la géhenne. » (Matthieu 10:28)
Le monde actuel est tellement perverti et abîmé dans le péché qu’il est inutile pour Satan comme pour Dieu d’envoyer d’autres châtiments que ceux que nous connaissons depuis cinquante ans. « Le châtiment, c’est le monde moderne » disait un auteur célèbre.
Quand les analystes et les lanceurs d’alertes pressentent des calamités comme un effondrement économique mondial, un conflit mondial généralisé, des guerres civiles, ou des épidémies fulgurantes, ils ne font que révéler les angoisses des babyloniens, de ceux qui justement ne craignent que ceux qui tuent le corps. Ils craignent pour leur petit confort matériel, ils redoutent de perdre cette vie facile basée sur la vie selon la chair. Bref ils tombent dans le piège satanique suprême : ne pas voir que justement cette vie confortable mais particulièrement pervertie et décadente, est celle qui les éloigne le plus sûrement de Dieu, les installe dans le péché, et les conduisent plus sûrement à perdre leur âme que ceux qui sont persécutés matériellement. Ils ont peur pour leur corps mais pas pour leur âme ; les insensés !
Même constat pour ceux qui s’obstinent à parler de l’Antéchrist au futur malgré les signes évidents ; ils savent qu’admettre que nous vivons sous le joug de l’Antéchrist revient à reconnaître la proximité du jour de la colère et du jugement dernier. A renoncer donc au monde et à ses séductions. Or la plupart de nos contemporains, même les plus avertis, n’ont pas vraiment envie de quitter ce monde de confort et de facilité. Ils voudraient bien que celui-ci se prolonge encore un peu.
Ils ne veulent pas reconnaître que cette société faite de persécution larvée et souterraine, mais bien réelle quand même, est bien plus redoutable pour les âmes que la persécution ouverte et armée que subissent les chrétiens d’Orient, où seuls les corps sont concernés.
Qu’ils méditent les paroles de Jésus.
Le jour de la colère est proche
Où en sommes-nous alors ?
L’Antéchrist en tant personne (le pape François) va dépasser ses 4 ans de pouvoir, mais le décompte des 3 ans et demi ne s’effectue qu’à partir du 30 septembre 2013, date à laquelle il annonce les canonisations du 27 avril 2014, qui permettent de TOUT comprendre.
Notamment de comprendre que les ex-nations chrétiennes constituent Babylone et que la Grande Prostituée est l’Eglise. Que les deux sont sous le joug de la bête depuis l’élection du pape Jean XXIII le 28 octobre 1958, parce qu’il y a exactement 666 mois entre le 28 octobre 1958 et le 27 avril 2014 (canonisation du même Jean XXIII). Cette durée de vie de l’Antéchrist de 55,5 ans avait été trouvée par le vénérable Holzhauser dès 1650. Qu’effectivement durant cette période les nations chrétiennes se sont paganisées, idolâtrant l’homme et ses capacités scientifiques et techniques, se sont considérablement perverties hissant les trois concupiscences (de la chair, de l’argent et de l’esprit : l’orgueil) comme idoles du système, le tout avec la complicité de l’Eglise qui parallèlement sombrait dans l’apostasie, le déicide et le reniement de sa mission.
De comprendre aussi la véritable nature de l’Antéchrist, à la fois période, système (politique, religieux, économique et culturel) et personnes (une multitude : l’homme de péché, et une personne, le guide spirituel qui permet cette situation : les papes du concile Vatican II).
De son côté Babylone est tombée. La Grande Prostituée est dépecée.
Satan annonce sa victoire. Il a réuni ses troupes en Armageddon, c’est à dire que monde entier est sous sa coupe.
De plus son royaume est divisé : Vladimir Poutine, d’abord, Donald Trump maintenant, n’obéissent pas (ou plus)à la synagogue de Satan. Encore un signe -prophétisé- de sa chute prochaine.
Que reste-t-il ?
Tout est accompli.
« C’est maintenant le jugement de ce monde; c’est maintenant que le Prince de ce monde va être jeté dehors. » (Jean 12:31)
N’avançons pas de date mais tout pointe sur le printemps 2017. Les 4 ans de Pike (1+3) ; les 42 mois de l’Apocalypse, le centenaire de Fatima… le point de départ se situe entre le 30 septembre 2013 et le 27 avril 2014 pour les derniers 3 ans… les fameux 3 jours de ténèbres qui sont en réalité 3 ans.
La prophétie des papes annonce le jugement dernier après les ultimes tribulations sous le règne du pape qui suit Benoît XVI… tout concorde.
Le septième sceau est déjà ouvert, nous sommes dans la demi-heure d’attente, de suspension du monde, en vue de la moisson, et de la purification de la terre par le feu.
Le Requiem va s’enclencher : la septième trompette.
En quoi consiste-t-il ?
La réponse est dans les textes d’une messe de Requiem selon la liturgie traditionnelle.
1) Lettre de saint Paul aux Thessaloniciens :
« Car au signal donné, à la voix de l’archange, au son de la trompette divine, le Seigneur en personne descendra du ciel. »
(I Thes. 4:16)
C’est donc bien la 7ème trompette.
2) le chant du Dies Irae
Dont les paroles sont particulièrement éclairantes pour ce moment unique :
« Jour de colère que ce jour là,
Qui réduira le monde en cendres ;
David l’atteste et la Sibylle.
Ah, quelle terreur règnera,
Lorsque le juge paraîtra
Pour tout trancher avec rigueur.
La trompette au son terrifiant
Nous poussera tous devant Dieu.
Le livre achevé sera lu,
Où tout se trouve consigné
Pour ouvrir le procès du monde. »
On comprend que beaucoup préfèrent repousser cette échéance, car ces propos sont bien loin de la fausse miséricorde du Vatican actuel, qui la confond avec la justice.
3) la prière de l’absoute
« Délivrez-moi Seigneur de la mort éternelle en ce jour de terreur où le ciel s’ébranlera, et la terre, quand vous viendrez juger le monde dans le feu. »
Voilà. A tous ceux qui veulent savoir ce qui nous attend, il suffit de relire ces textes, tout y est dit.
Purification du monde par le feu. C’est tout.
Puis ce sera la Jérusalem céleste, c’est à dire la résurrection de l’Eglise et le règne de Jésus parmi les siens. Uniquement les siens, tous les autres auront été précipités dans la géhenne (en enfer) y compris les démons.
Le parallèle avec la destruction de Jérusalem
Quand Jésus décrit la fin du monde, il pleure d’abord sur la chute de Jérusalem, car celle-ci est une préfiguration de ce qui nous attend à la fin du monde (ou plutôt à la fin du temps des nations, ce qui revient en pratique au même).
Dans son œuvre maîtresse, l’Année Liturgique, Dom Guéranger (1805-1875) décrit avec précision la chute de Jérusalem en l’an 70 par Titus.
Les circonstances de cette chute sont particulièrement atroces, car outre la guerre avec les romains et les conséquences du siège (famine, troubles…) , les dissensions internes entre juifs (guerre civile) causèrent autant de morts et de dégâts.
Nous ne détaillerons pas cet événement ici, mais nous arrêterons sur deux éléments significatifs :
1) la rapidité de la chute de la ville ;
2) les nombreux avertissements qu’ont eu les juifs durant des années précédentes.
La rapidité de la chute de Jérusalem
Titus arrive en vue de Jérusalem au moment de la Pâque de l’an 70, donc fin mars ou début avril.
Au bout de deux mois, Titus a investit la ville basse, mais les collines de Sion et de Moriah (mont du Temple) restent inexpugnables.
Dom Guéranger note une chute en trois temps :
– Fin du sacrifice perpétuel le 12 juillet, faut de victimes (on offrait des animaux en sacrifice) ;
– Incendie du Temple le 4 août 70, un jour de sabbat ;
– Fin de Jérusalem le 1er septembre par la prise de Sion, saccagée et brûlée comme Moriah et la ville basse.
Il s’écoule donc 23 jours entre la fin du sacrifice perpétuel et la destruction du temple, et encore 28 jours entre celle-ci et la chute définitive de Jérusalem. Total : 51 jours.
Rappelons qu’il s’est écoulé 51 ans entre la fin du concile Vatican II et la fin du jubilé de la miséricorde, consacrant ce même concile.
C’est donc bien fini ; nous avons une preuve de plus que la véritable fonction du pape François est d’acter, en compagnie de la bête et des 10 rois du monde, la fin de Babylone et de l’Eglise.
Son jubilé la 51ème année et non normalement la 50ème avait donc une signification.
Les signes annonciateurs
Ils sont de deux ordres :
– les signes généraux
– les signes spécifiques aux juifs
Les signes généraux
– la mort de saint Pierre et saint Paul sous Néron, en 64 ou 67 ;
– la mort de ce même Néron le 9 juin 68, qui ouvre une période d’incertitude d’un an et demi : l’année 69 de l’empire romain est la fameuse année des 4 empereurs.
Donc l’an 70 est précédé d’un épisode unique dans l’histoire de Rome, une période de confusion et de chaos, elle-même précédée du décès -très symbolique- du prince des apôtres et de l’apôtre des Gentils.
Il est intéressant de noter que le 15 mai prochain, l’état moderne d’Israël soufflera ses 69 ans révolus. Un chiffre qui par ailleurs est d’une signification capitale en ces derniers temps. N’oublions pas que la nouvelle messe, élément essentiel dans la stratégie satanique, date de 1969.
Mais Dom Guéranger note, au sujet de cette année 69 :
« Aux tremblements de terre en divers lieux, aux pestes, aux signes dans le ciel, qui s’étaient multipliés dans les dernières années du tyran, s’ajoutèrent alors les soulèvements de nation à nation, de royaume à royaume. »
Justement, ces dernières années se sont caractérisées par de nombreux séismes, des épidémies mystérieuses (hommes et animaux), des révolutions et des soulèvements (révolutions arabes, Ukraine…), des conflits (Syrie, Irak, Daech…), et bien sûr de grands signes dans le ciel (tétrades, alignements de planètes, crashs d’avions) et sur terre (terrorisme, 11 septembre).
Les signes spécifiques à Jérusalem et aux juifs
1) En 66 donc environ 4 ans avant, l’armée de Syrie conduite par Cestius Gallus s’était montrée sous les murs de Jérusalem. » Le Seigneur voulait seulement alors donner aux siens L’AVERTISSEMENT qu’il leur avait promis en précisant d’avance la suite des événements » explique dom Guéranger. « Lorsque vous entendrez le tumulte des séditions et des bruits de guerre, disait-il, n’en soyez point troublé : ces choses arriveront d’abord, sans que la fin vienne aussitôt. Mais quand vous aurez eu le spectacle de Jérusalem entourée d’une armée, sachez que sa désolation est proche, et fuyez loin d’elle. »
Dom Guéranger explique d’ailleurs que ce signe permit aux chrétiens de se retirer progressivement de Jérusalem ; en 70 il n’y en avait plus.
N’oublions pas que Jérusalem est la figure de l’Eglise ; or l’Eglise entourée de l’armée de la franc-maçonnerie et investie par elle en de nombreux endroits est une preuve tangible de l’application de cette prophétie à notre temps, depuis le concile et surtout depuis les années Bergoglio. En effet la collusion entre le positionnement actuel de l’Eglise et le programme franc-maçon annoncé au début du XXème siècle peut facilement se démontrer et se prouver.
Et effectivement depuis le concile les vrais catholiques n’ont pas suivi l’Eglise dans sa folie de réforme, d’hérésies et d’apostasie, ils se sont retirés de Jérusalem pour fuir (allégoriquement) dans les montagnes et les grottes.
2) Depuis la fête des Tabernacles de l’année 62, un homme étrange venu de la campagne, le prophète Amos, n’a cessé de parcourir les rues de la cité maudite, criant jour et nuit : « Malheur, malheur à Jérusalem, malheur à la ville et au Temple, malheur au peuple » ; ceci dura 7 ans et 5 mois, il fut tué dans les premiers jours du siège des romains.
Depuis combien de temps les eschatologues, les exégètes, les théologiens annoncent les châtiments, le malheur des sociétés chrétiennes, les dangers que court l’Eglise depuis le concile ? Cela fait déjà quatre ans qu’ici sur le Grand Réveil j’annonce la chute de Babylone et le jugement dernier ; combien de personnes dans le monde ont le même discours ?
Nous ne faisons que remplir le même rôle qu’Amos. L’Apocalypse les appelle « les deux témoins » ; la Sainte Vierge à la Salette les apôtres des derniers temps. Toutes ces appellations désignent en fait les mêmes personnes : celles restées fidèles à la vraie foi et à la véritable Eglise, qui sentent et annoncent le châtiment des nations et de l’Eglise, qui le voient et le disent !
3) Un jour à la fête de la Pentecôte, les prêtres remplissant leur ministère ont entendu dans le saint lieu comme l’agitation d’une grande multitude et des voix nombreuses s’écriant toutes ensemble : « sortons d’ici ! ».
Une autre fois au milieu de la nuit, la porte d’airain massif qui fermait le sanctuaire du côté de l’Orient et que vingt hommes à peine peuvent ébranler, s’est ouverte d’elle-même.
Dom Guéranger ne précise pas la date, mais nous aussi nous avons notre lot de signes étranges et extraordinaires qui apparaissent régulièrement, comme cet échouage récent de milliers de baleines en Nouvelle Zélande.
Pour conclure, il est évident pour les élites mondiales comme pour quelques eschatologues avertis, que nous sommes au bout de la course, que le jour de la colère est très proche, celui qui suit le règne de l’Antéchrist et s’ouvre soit sur le retour du Christ, soit sur la victoire de Lucifer.
Comme nous connaissons déjà la réponse, car le mal ne peut être vainqueur, et que tout homme qui a appris son Credo sait que « Jésus reviendra pour juger les vivants et les morts« , il est temps pour chacun d’abandonner définitivement la politique de l’autruche et de regarder la vérité en face : le jour de la colère qui arrive c’est la purification de la terre par le feu, la moisson, le châtiment des méchants, la récompense des justes, et le jugement dernier.
Illustration de tête : rosace du jugement dernier, cathédrale de Chartres